Een fragmentje van mijn artikel over Woody Allen.

te verschijnen in  Deneulin, L. en Swinnen, J. (2012). Visions. Philosophie et cinéma. Bruxelles: ASP. 

Réminiscence d’enfance

La première fois que j’ai entendu parler de Spinoza c’était par Woody Allen, dans Guerre et Amour  (1975). C’était des années après sa sortie. Je n’avais alors, je crois, que dix ans. Et j’ai tout de suite aimé. Pas Spinoza, mais Allen. J’ose dire que ses films ont formé ma vision du monde. Non que sans eux, je n’aurais pas été prise par l’obsession des questions de l’existence de Dieu, de la mortalité ou de l’absurdité de l’existence. Mais Allen me semblait être celui qui avait tout compris.

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Over Woody Allens voeling voor filosofie schreef ik reeds op deze blog. Hier staat zijn grapje over Spinoza…

Het boek van Johan Swinnen en Luc Deneulin is een tweede boek. Ik schreef een artikel over kunstenaars en film in het vorige boek, Filmisch Verlangen. Een uitwerking van een opiniestuk in De Morgen, over Rundskop.